Traité de Paris, 1951 : CECA (Communauté européenne du charbon et de l'acier, fin 2002), Traité de Rome, 1957 : CEE (Communauté Economique Européenne) et CEEA (Communauté européenne de l'énergie atomique), Acte Unique Européen 1987, Traité de Maastricht 1992, Traité de Nice 2000 : on se met d’accord sur les réformes quant à l’élargissement/ Traité de Lisbonne 2007
Traités d'adhésion : ont élargi :
-R-U/ Irlande/ Danemark : 1973
-Grèce : 1981
-Espagne/ Portugal : 1986
-Autriche/ Suède/ Finlande : 1995
-Chypre/ Malte/ Slovaquie/ Pologne/ Lituanie/ Tchéquie/Lettonie/ Hongrie/ Estonie/Slovénie : 2004
-Bulgarie/ Roumanie : 2007
-Croatie 2013
-Brexit : 2020
La charte des droits fondamentaux, 2000, elle a une valeur juridiquement contraignante
Suprématie et rigidité
Interne : supérieure à tous les actes internes pris par les organes de l’UE/ rapports entre le droit de l’UE et le droit des États membres : les traités antérieurs aux traités de l’UE restent valables dans la mesure où ils sont conformes au traité de l’UE
par deux types de recours : recours en annulation : acte interne de l’UE si contraire au droit primaire/ Ou recours en carence, lorsqu’un organe de l’UE n’adopte pas un acte alors qu’il devrait le faire.
un acte fondé sur un autre acte lui-même contraire au droit primaire.
La révision, révision lourde et une autre plus légère
Article 48 du Traité sur l’UE : tout gouvernement d’un État membre, parlement Européen ou commission européenne ont l’initiative demandent conseil à l’UE de réviser le traité/ le conseil soumet ce projet au conseil européen et parlements nationaux sont informés, si le conseil européen est d’accord avec ce projet, il lance une convention composée de représentants des parlements nationaux, des gouvernements des États membres, PE (parlement euro), ComE (commission euro).
La convention examine. On convoque une conférence intergouvernementale qui va voter le projet ou non. Et doit-être ratifié par tous les États membres selon leur procédure interne.
notamment pour réviser certaines politiques de l’UE avec l’objectif de poursuivre l’intégration. Pas de convention convoquée ni de conf intergouv.
Cons Européen statut à l’unanimité après avoir consulté la ComE et le PE, doit-être ratifié par tous les États membres.
Article 288 TFUE
Visa, motivation, publiés au JO, doit prévoir acte d'entrée en vigueur et ne doit valoir que pour l'avenir sauf exception
Lorsque l'UE va fixer un objectif, un résultat à atteindre mais elle va laisser le choix des moyens pour y parvenir aux États membres
Par la CJ qui exerce des contrôles afin de vérifier que la transposition par les États permet bien d’atteindre le résultat voulu par la directive.
via le recours en manquement contre un État
2 ans
Etats engagent leur responsabilité
ils peuvent invoquer la directive devant leur juge national pour qu’il vérifie que les mesures prises sont conformes à la directive.
Arrêt Francovich, 1991
Vrai
Non, acte individuel qui va lier le destinataire
on admet qu’une décision puisse ne pas avoir de destinataire précis.
décision du Parlement européen du 13 mai 2020 sur la clôture des comptes de l’Autorité européenne de sécurité des aliments pour l’exercice de 2018/ État membre ou une entreprise privée physique ou morale
Une invitation à suivre une certaine ligne de conduite mais ne sont pas juridiquement obligatoire
Illégal
Un acte de l’UE pris en dehors de l’énumération de l’article 288
D'effet direct, législatifs (procédure législative) ou règlements délégués (article 290 TFUE) : on délègue le pouvoir normatif à la commission et va pouvoir adopter un règlement (article 291 : règlements d’exécution).
on pouvait leur trouver une valeur juridique à ses déclarations
Lorsque le Conseil avait la volonté de produire des effets juridiques par le biais de cet acte
Elle établit des lignes directrices
Une plus grande fluidité
PESC : politique étrangère et de sécurité commune
On accepte les abstentions constructives : une abstention ne fait pas obstacle à l’unanimité sauf si elles sont trop nombres (représentent 1/3 des États représentants 1/3 de la population)
Les accords de l’UE = compétence de l’UE pour conclure des engagements internationaux dans ses domaines de compétence qui lui permet de réaliser ses missions. Ex : en matière en politique commerciale commune mais aussi en matière d’environnement et de coopération au développement
les accords mixtes = conclus à la fois par l’UE et par les États membres. Ce sont des accords d’association avec des États tiers qui comportent essentiellement une zone économique comme de libre échange mais qui peuvent aussi avoir des aspects politiques ou culturels
La Jp de la CJUE et les principes généraux du droit communautaire
Il interprète les traités et le droit dérivé pour déterminer les obligations des États ou des ressortissants et pour déterminer si un acte de droit dérivé est conforme au droit originaire.
Méthodes dynamiques d'interprétation, pour augmenter les obligations des États avec l’objectif de garantir
l’efficacité du droit de l’UE.
interprétation téléologique : adapté interprétation
en fonction de l’objectif à atteindre.
CJUE doit aussi utiliser l’interprétation systématique des traités.
Ces principes permettent de compléter les traités + ils sont obligatoires pour les États membres et pour les organes de l’UE + supérieur au droit dérivé
-droit international
-principes communs aux ordres juridiques des États membres
-inspiration purement communautaire (ce qui découle de la communauté, ex : principe de coopération loyale)
Droit progressif
Faux