1- faire un dépistage lors d'un bilan de santé
2- confirmer ou infirmer un diagnostic/ impression clinique
3- Surveiller l'évolution de la maladie
4- vérifier l'efficacité d'un traitement
5- sont aussi reliés aux activités réservées de l'infirmière (initier des mesures diagnostiques et thérapeutique, selon une ordonnance, effectuer des examens et des tests diagnostiques invasifs, selon une ordonnance)
- examens sanguins veineux
- examens sanguins artériels
- examens sanguins capillaires
- examen des urines
- examens des selles
- culture et antibiogramme
- ponction (autre que veineuse, capillaire et artérielle)
- biopsie
ponction veineuse « prise de sang». Évalueer les aspects du fonctionnement des organes ou thérapie médicamenteuse, détecter des déséquilibres et diagnostiquer des affections.
prélèvement de sang artériel. Déterminer taux d'O2 et de CO2, pH (gaz artériels). plus douloureux, prélèvement dans l'artère radiale ou brachiale. fait par le medecin ou l'infirmiere à l'USI
prélèvement de sang capillaire se fait au bout du doigts, sert à déterminer taux O2 et de CO2, pH (gaz capillaire) et le taux de glucose sanguin
Analyse: établit le contenu de l'urine. Renseigne sur la fonction rénale et sur d'autre maladies. Culture: confirmer une infection urinaire, faire un antibiogramme. Le prélevement peut se faire par miction, mi-jet, via sonde vésicale, par cathétérisme, une collecte de 24h Ubag
Évaluer la fonction et l'intégrité du système digestif. Présence de sang, quantité excessive de lipide, oeufs/parasites (nécessite prélèvement x3 jours de suite), bactéries ou virus (contenant stérile). Test de gaïac à recherche de sang occulte.
Identifier un microorganisme et sa résistance ou sensibilité aux mx (ex: SARM et ERV) permeyt aussi au medecin d'ajuster l'antibiothérapie, d'évaluer le tx...
Technique invasive consistant à retirer du liquide d'une cavité pour fins diagnostiques ou thérapeutique. Ex. abdominale (ascite), pleurale, lombaire, articulation, etc. Risques plus élevés car invasive. consentement signé obligatoire. souvent effectué par le médecin et/ou sous imagerie médicale. il peut etre requi que l'infirmiere assiste le medecin.
Technique invasive consistant à prélever et examiner un échantillon de tissu pour des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Ex: moelle osseuse, foie, tissus mammaires, ganglions, poumons. Risques plus élevés car invasive. consentement signé obligatoire. souvent effectué par le médecin et/ou sous imagerie médicale. il peut etre requis que l'infirmiere assiste le medecin.
1- connaitre l'examen et sa préparartion
2- client à jeun ou non
3- méducation - à cesser avant l'examen, à administrer avant la procédure
4- produit de contraste ( allergie ? débit de filtration glomérulaire - déterminer la fonction rénale nécessaire pour l'élimination du produit de contraste)
5- les contres indications
6- autres particularités à prendre en considération selon l'examen
7- quel est le mtériel nécessaire
8- consentement (écrit, verbal, implicite)
9- effectuer la double identification
10- fournir des explications
11- adapter notre communication à la personne
12- l'enseignement = role infirmier important
- soutient moral et physique au client
- surveillance physique ex: SV, SpO2...)
- positionnement de la personne
- parfois assister le médecin
- respecter la procédure (s'informer)
- Étiqueter correctement, sinon refusé et devra etre refait
- Entreposer et transporter les échantillons correctement sinon risque de fausser les résultats
- suivi et observation de la personne
- reconnaitre les compliactions et intervenir selon la situation
- comparer les résultats
- adapter les interventions infirmières
- transmettre les résultats au médecin PRN
- Médication à administrer post procédure
mesure du nb de globule rouge dans le sang veineux
- diminution: anémie, hémorragie, grossesse, carence en vitramine B6 ou B1, infection, hémolyse
- augmentation: déshydratation, affection pulmonaire, haute altitude, MPOC
Compose 90% des globules rouges, servent au transport de l'O2 et du CO2.
- diminution: anémie, hémorragie, mauvaise alimentation, hémolyse, hémodilution
- Augmentation: brulure grave, déshydratation, érythrocytes, MPOC, polyglobulie
(120-160)
renseigne sur le nb et le rapport du volume de GR dans le sang avec celui du plasma. Permet de déterminer la quantité de sang perdu par une personne.
- diminution: anémie, hémorragie, mauvaise alimentation, hémolyse, hémodilution
- augmentation: brulure, choc, déshydratation, diarrhée importante, polyglobulie
(0,360-0,460)
nécessaire au processus de coagulation
- diminution (thrombocytopénie): cancer, leucémie, maladie de la moelle osseuse
- Augmentation (thrombocytose): hémorragie, dérèglement infectieux/inflammatoire, cancer, anémie ferriprive, grossesse
(150-400)
nombre total de globule blanc et le % de type de leucocytes (différentielle)
- diminution (leucopénie): immunosupression; surveiller les signes et symptomes d'infection et appliquer riogoureusement les mesures de prévention des infections.
- augmentation (leucocytose): processus inflammatoire/infectueux
principal ion du liquide intracellulaire. responsable du maintien de l'équilibre acido-basique, de la régulation de la pression osmotique cellulaire et de la conduction electrique dans les cellules.
- diminution (hypokaliémie): acidose tubulaire rénale, alcalose, brulure étendue, diarrhée, hypothermie, inanition, malabsorption, maladie hépatique, obstruction pylorique, perfusion IV saline, vomissements. Manifestation clinique: faiblesse musculaire, confusion, anorexie, arythmies, engourdissements et diminution des reflexes.
- augmentation (hyperkaliémie): acidose métabolique, anémie falciforme, apport excessif en potassium, diabète, hypoaldostérine, IRA, lupus érythémateux aigu disséminé, maladie d'addison, nécrose tissulaire, néphrite. Manifestations cliniques: arythmies, faiblesse musculaire, diarrhée, nausée, irritabilité musculaire.
(3,6-5,0)
principal cation du liquide extracellulaire. joue un role important dans l'équilibre acido-basique et favorise le fonctionnement musculaire. la concentration de sodium dans l'organisme est liée à l'équilibre hydrique de l'organisme. Le taux de sodium stimule les reins afin qu'ils compensent les modifications de l'équilibre hydrique.
- Diminution (hyponatrémie): diarrhée ou vomissment abondant, surhydratation (PO ou IV sans Na), cirrhose, diaphorèse, hyperglycémie, hypothyroïdie, IrC/IRA, insuffisance rénale. Manifestation cliniques: léthargie, changement de l'état de conscience, N/V, crampes abdominales, céphalées, oligurie, poul faible + rapide, tremblements, convulsion, coma.
- Augmentation (hypernatrémie): déshydratation, apport excessif de sel, coup de chaleur, reduction fonction rénale, odème. Manifestations cliniques: soif, muqueuse sèche, faiblesse, hypotension orthostatique, fatigue, agitation.
(135-145)
Principal anion (ion à charge négative) du liquide extracellulaire. si essentiel pour l'equilibre des pressions osmotiques, l'équilibre ionique, acido-basique et hydrique de l'organisme.
- diminution (hypochlorémie): vomissements, diarrhée, brulure, insuffisance rénale, insuffisance cardiaque. Manifestation clinique: secousses musculaires, tremblements, tétanie, respi. superficielle.
- augmentation (hyperchlorémie): déshydratation, hyperventilation. Manifestations cliniques: faiblesse, léthargie, respiration rapide et profonde, arythmies, coma
Principaleprotéine de l'organisme à emmagasiner le fer. le dosage donne une bonne idée des réserves de fer de l'organisme. le taux de ferritine diminue avant l'apparition des symptomes d'anémie.
- diminution: anémie ferriprive, chirurgie gastro-intestinale, grossesse, hémodialyse, maladie inflammatoire de l'intestin, malnutrition, menstruations.
- Augmentation: anémie autre que ferriprive, cirrhose, hépatque aiguë, hyperthyroidie, infection, leucémie, maladie rénale chronique, polyarthrite rhumatoïde
ablation
paroi abdominale
examen visuel
incision chirurgicale
abouchement à la peau
réfection ou réparation
fixation chirurgicale
- urgente/non urgente ou sélective
- diagnostic, traitement, palliation, prévention, exploration, esthétique
- évaluation psychosociale
- évaluation du passé médical
- Évaluation de la prise de mx
- évaluation de la consommation de drogue et d'alcool
- Évaluation des allergies
- Évaluation des systèmes et collecte de données associée
- Examens paraclinique
- anxiété
- peurs courantes
- espoir
- troubles de santé passés et actuels
- chirurgie antérieures
- compréhemsion du C/F de la raison de la chirurgie
- complications antérieures aux interventions
- ATCD familiaux - maladies cardiaques, endocriniennes, effets indésirables à l'anesthésie
- consigner les mx pris sur une base réguliere et intermittente
- consigner la prise de mx en vente libre, à base de plantes, de suppléments et de vitamines
- obtenir le profil pharmacologique informatisé pour diminuer le risque d'erreur
- tenir compte des intéractions entre la médication prescrite durant la période périopératoire et la médication prescrite sur une base régulière
- questionner sur la consommation de drogue, de tabac et d'alcool
- si positif, évaluer la fréquence, quantité, durée (consommation excessive ? Dépendance ?)
- poser des questions directes sur la consommation des substances (opioïdes, marijuana, cocaïne, amphétamine)
- la consommation peut influencer sur le type et la quantité d'anesthésique nécessaire au cours de la chirurgie
- L'alcoolisme met la personne opérée en danger, re: dommages causés par l'alcool aux poumons, au tube digestif et au foie.
- risque de complications post-opératoires +++
- Risque de sevrage alcoolique
1- description adéquate du diagnostic, de la nature + but de la chirurgie, risques, conséquences, probabilités de réussite, autres traitements possibles.
2-doit démontrer qu'il comprend
3-donné volontairement
à l'appel = sur l'unité
à l'induction = au bloc opératoire
- donner les derniere info sur la chirurgie
- Évaluer et communiquer les derniers résultats
- Vérifier que toutes les demandes de préparation préop ont ete fait (ex: lavement)
- S'assurer que le dossier est complet (consentement, analyse laboratoires, examen paraclinique, antécédents médicaux, examen physique, notes de consultation, signes vitaux, note complete de l'infirmiere)
- mettre un bracelet d,identification et allergie PRN
- Préparation physique (ex: maquillage, jaquette, vernis à ongle, enlever prothèse ou lentilles cornéennes, vider la vessie)
- objets de valeur: les donner aux proches du client
anesthésie: absence de sentation
analgésie: absence de douleur
- pour les interventions mineures
- s'utilie seule ou en association avec une autre forme d'anesthésie (régionale ou locale)
- provoque une dépression de l'état de conscience et parfois de l'amnésie
- pas de perte de conscience
- la personne doit respirer sans aide
- administration d'un sédatif et d'un analgésique opioide.
Avantages:
- réduction des craintes et anxiété
- soulagement des dlr et plus grand seuil de tolérance
- peu de perturbation de l'humeur
- rétablissement plus rapide
- SV plus stables
surveillance étroite si utilisation d'un opioïde et d'un sédatif:
- échelle de sédation
- état respiratoire (risque de dépression respiratoire)
- surveiller l'hypotension et la tachycardie
- Rachidienne
- Épidurale
- perte de sensation dans une partie du corps
- pas de perte de conscience, mais usage fréquent d'une sédation en même temps.
- blocage d'un nerf ou d'un groupe de nerfs par l'administration d'un anesthésique
- une combinaison d'un analgésique opioïde et d'un anesthésique est courament utilisée
- chirurgie liées à la partie inférieure du corp (abdomen et plus bas)
- Usage fréquent pour interventions urologique et obstétricales (césarienne)
- injecté dans l'espace sous-arachnoïdien
- le mx se mélange avec le liquide céphalo-rachidien (LCR)
- entraine un blocage sensitif et moteur, aucune dlr et aucun mouvement possible
- entraine souvent des céphalées
- peut provoquer des n/v
- risques d'hypotension
- risque de paralysie respiratoire
- peut provoquer des dorsalgies
- au retour sur l'unité, les effets de la rachidienne se dissipent progressivement
- surveiller la force musculaire et la sensation dans les membres inférieures avant le premier lever.
- risque d'hypotension orthostatique, le premier lever doit etre progressif toujours sous surveillance
- intervention obstétricales
- sert également à controler la dlr en postopératoire pour des chirurgies majeures, le cathéter peut etre laissé en place quelques jours
- L'anesthésique et/oy l'analgésique opioïde sont injectés dans l'espavce péridural (ne pénètre pas le LCR)
- selon la quantité et la concentrationb de l'anesthésique, il peut y avoir ou pas de blocage moteur (non souhaitable si controle de la dlr en postop)
- moins d'effet sur le SNA que la rachidienne
Désavantages
- peut provoquer des n/v
- risque d'hypotension
- risque de paralysie resp
- peut provoquer des dorsalgies
Avantages
- le cath.ter peut etre laissé en plce pour soulager la dlr apres l'intervention (nous demandons le protocole de suivi d'épidurale)
- surveillance de la force musculaire et la sensation dans les membres inférieures avant le premier lever
-risque d'hypotension orthostatique, le premier lever doit etre progressif et sous surveillance
- surveiller le pansement, la fenetre ainsi que le cathéter
- surveillance de l'état de resp, SV
- surveiller le niveau d'anesthésie (test du glacon) pour eviter la paralysie respiratoire
- évaluer l'échelle de sédation
- évaluer la dlr
- intervention mineure
- perte de senssation dans un site bien précis (verrue, dentiste, suture)
- administration de l'anestgésique par application topique ou par injcetion
- usage tres fréquent (lidocaïne - classe anesthésique
- intervention majeures
- perte de sensation
- perte de conscience et de mémoire
- relachement comnplet des muscles squelettiques
- dépression respiratoire et cardiovasculaire
- aucun reflexe pharyngé
phase d'induction: anesthésie par voie IV et/ou inhalation
phase de maintien: dérouelement de la chirugie
phase de réveil: administration de mx pour renverser les effetes de l'anesthésie
- risques plus grands que pour une autre forme d'anesthésie
- cause souvent de l'anxiété et des craintes
- age
- nutrition
- obésité
- apnée du sommeil
- immunosupression
- equilibre hydroélectrolytique
- grossesse
- examens paracliniques
- atélectasie
- pneumonie
- hypoxémie
- embolie pulmonaire
- thromboplébite
- hémorragie
- choc hypovolémique
- ballonnement
- constipation
- N/V
- illéus paralytique
- rétention urinaire
- déhiscence
- éviscération
- infection
- douleur
- permet au patient une auto administration
- aucun risque de surdose
- l'appareil est concu pour adminstrer un nb précis de dose q h PRN (rx différentes selon le cas)