apport adéquat du O2 au sang
• élimination du Co2 du sang
contribue à maintenir le Ph sanguin entre 7,35 et 7,45 en faisant varier la fréquence ventilatoire et/ou l’amplitude respiratoire, ce qui modifiera les échanges gazeux. ( impossible dun grops ecart!!|!
CO2 + H2O -- se tranforme en --- H 2CO3 ---- se tranforme en H+ + HCO3
C6H12O2+O2=Atp+ H2O+ CO2
Ventilation normale ~ 16 ventilations/minute,
Volume courant 500 ml/ventilation
Séreuse entourant les
poumons.
Une plèvre
indépendante entoure
chaque poumon.
elevéee a faible
la contraction de muscles intercostaux--- Volume intraalvéolaire
augmente
lorsque on inspire , y a une contraction du diaphragme , abaiseemnt
relachement des muscles intercotaux et relaxchement du diaphragme , augmente
Le surfactant est une substance produite par les cellules alvéolaires dans les poumons. Il réduit la tension de surface à l'intérieur des alvéoles, ce qui aide à prévenir leur affaissement (collapsus).
Sans surfactant, les alvéoles se rétracteraient, rendant la respiration difficile. Le surfactant facilite donc l'expansion des alvéoles pendant l'inspiration et rend la respiration plus efficace.
2. Compliance Pulmonaire
La compliance pulmonaire fait référence à la capacité des poumons à se dilater et à se contracter facilement. Plus les poumons sont « souples » ou élastiques, plus il est facile pour eux de se remplir d'air.
Une bonne compliance pulmonaire signifie que moins de force est nécessaire pour ventiler les poumons. La diminution de la compliance (due, par exemple, à des maladies comme la fibrose pulmonaire) rend la respiration plus difficile, car il faut plus d'effort pour gonfler les poumons.
3. Résistance
La résistance fait référence à la difficulté pour l'air de passer dans les voies respiratoires. Elle est influencée par le diamètre des bronches et des bronchioles.
Une augmentation de la résistance (par exemple, en cas d'asthme ou de bronchite) rend l'air plus difficile à déplacer, ce qui augmente l'effort nécessaire pour respirer.
La réduction de la résistance, par dilatation des voies respiratoires, facilite le flux d'air et rend la respiration plus aisée.
-proteine qui va sinserer dns les alveoles et assure que cette derniere soit ouverte
-La tension superficielle du liquide
alvéolaire (attraction entre les
molécules d’eau) s’oppose à
l’étirement des alvéoles et tend à les
faire s’affaisser
- Le surfactant vient diminuer la tension
superficielle du liquide alvéolaire et réduit la
tendance des alvéoles à s’affaisse
Capacité des poumons a se distendre ( a faire augmenter son volume )(+ la compliance
est grande, + la distension est facile)
- elasticité du tissu pulmonaire
- tension superficielle des alvéoles (normalement elle est
faible grâce au surfactant) et
la resistance
La bronchodilatation est l'élargissement des voies respiratoires causé par la relaxation des muscles lisses, facilitant ainsi le passage de l'air et réduisant la résistance. À l'inverse, la bronchoconstriction est le rétrécissement des voies respiratoires dû à la contraction des muscles lisses, ce qui augmente la résistance et rend la respiration plus difficile. Ces mécanismes sont influencés par des stimuli comme les médicaments, les allergènes, et certaines hormones.
En plus de la minceur et de la surface de la membrane
alvéolo-capillaire, les échanges gazeux sont influencés par:
Les gradient de pressions des gaz
Le couplage ventilation (mécanisme de
régulation local)