- météorologie : paramètres considérés localement et à court terme (science « le temps qu’il fait »).
- climat : ensemble de moyennes de grandeurs atmosphériques observées ; echelle local ou global à moyen ou long terme.
grandeurs = température, pression, degré d’hygrométrie, pluviométrie, nébulosité, vitesse et direction des vents
- climatologie étudie les variations du climat
- entre 1860 à 2017, l’écart de température est de quasiment +1 °C par rapport à
la moyenne de 1961 à 1990 : la tendance est donc à une élévation de la température globale
depuis 1860.
- Depuis les années 1980, cette tendance est plus marquée.
Cette augmentation de la température depuis le début de l’ère industrielle est donc un fait scientifique
mesurable.
- La température moyenne de la Terre est l’un des indicateurs du climat global
si les glaciers fondent cela montre que cela qu’il fait de plus en
plus chaud mais comme cela s’est déjà produit (temps geologique ∅ lien act. hum) on peut dire que ces variations sont
cycliques. On peut donc supposer que si la fonte actuelle des glaciers est liée aux
activités humaines ce n’est peut-être pas le seul paramètre à prendre en compte.
certains indicateurs des climats du passé (analyse des pollens fossiles) permettent de retracer avec bcp de préciº, l’évoluº du climat en un point très précis du globe. grains de pollens remarquablement
conservés (millions d’années) grâce : enveloppe très résistante + propriétés conservatrices des tourbières (enveloppe de motifs caractéristiques de l’espèce)
=> reconstituº de flore de l'environnement + évoluº
évolution. Comme l’implantation de la flore dépend du climat, on a alors des témoins de climats
passés.
Le climat de la Terre présente une variabilité́ naturelle sur différentes échelles
de temps, depuis des 100k d’années, la concentration en CO2 atmosphérique a augmenté plus que jamais. retraçage des climats du passé par indicateurs spécifiques tq l’évolution de la quantité de CO2 dans les bulles d’air emprisonnées dans les glaces
Depuis 150 ans, on mesure un réchauffement climatique global (+1°C). Celui-ci est la réponse du système climatique à l’augmentation du forçage radiatif (∆ E radiative reçue et E radiative émise)
due aux émissions de GES dans l’atmosphère : CO2, CH4,
N2O et vapeur d'eau.
Lorsque la concentration en GES augmente, l’atmosphère absorbe plus de
rayonnement thermique infrarouge émis par la Terre. Ce qui augmente en retour
la puissance radiative reçue par le sol émise par l’atmosphère. Il y a donc un
déséquilibre du bilan radiatif qui existait à l’ère préindustrielle. Cela se traduit
par une augmentation de la température globale.
La fonte des glaces continentales et la dilatation thermique ont un impact direct
sur l’augmentation du niveau de la mer et donc sur la vie des populations cotières.