Utilisateur
est un ensemble d’individus de la même espèce, occupant un même territoire, capables de se reproduire entre eux et leur fils aussi ( ne doivent pas etre steriles)
Vrai , car sinon ca voudra dire quils ne sont pas sur le meme territoire !!
• Ressources : sources de nourriture, eau, oxygène, etc.
• Facteurs écologiques : climat, prédation, compétition, etc.
cest la discipline biologique qui étudie les populations biologiques sous l’angle de l’environnement, en explorant l’influence des facteurs biotiques et abiotiques sur la densité et le mode de dispersion de ces populations.
Facteurs biotiques : Ce sont tous les éléments vivants qui influent sur une population ou une communauté d'organismes. Cela inclut les interactions entre différentes espèces, telles que la prédation, la compétition. Ce qui peut avoir un impact sur la croissance, la survie, la reproduction et la distribution des organismes dans un écosystème.
facteurs abiotiques : Ce sont tous les éléments non vivants qui influent sur une population ou une communauté d'organismes. Cela inclut les conditions physiques et chimiques de l'environnement telles que la température, l'humidité, la lumière, le pH du sol ou de l'eau, la disponibilité des nutriments, etc. Les facteurs abiotiques peuvent avoir un impact direct sur le métabolisme, la physiologie et la répartition des organismes dans un écosystème.
• De prévoir l’impact de l’activité humaine sur une
population ;
• D’éviter l’extinction d’espèces ;
• De préserver la biodiversité.
• Taille de la population = nombre d’individus occupant un territoire donné.
• Densité de la population= nombre d’individus par unité de surface ou de volume.
surface: surface de la terre en km carre
volume: lorsquon mesure locean, en ml d'eau
- Comptage direct : comptage de tous les individus sur un territoire. Cette méthode est à privilégier si ...
• Le territoire est de petite taille (selon la méthode de récolte des données ; par exemple, à pied ≠ en hélicoptère ou avec
un drone) ;
• Le territoire permet de bien voir l’organisme (à découvert...)
• L’organisme est immobile (végétaux...) ou ne se déplace pas trop rapidement ;
• L’organisme est de grande taille et facilement observable.
- Échantillonnage : comptage exact ou estimé des individus dans des lots de territoire, puis faire une extrapolation pour l’ensemble du territoire. Cette méthode est à privilégier si ...
• Le territoire est vaste (selon la méthode de récolte des données) ;
• Le territoire ne permet pas de voir l’organisme facilement (couvert forestier, dans l’eau...) ;
• L’organisme se déplace rapidement ;
• L’organisme est de petite taille et difficilement observable.
-Séparer le territoire en lots représentatifs• Comptage direct : méthode la plus précise.
- choisir lequel est le plus facile a compter
-apliquer une de ces 3 techniques
• Comptage direct : méthode la plus précise.
• Capture-recapture : précision moyenne.
• Indicateur indirect : méthode la moins précise.
• Diviser le territoire en lots.
• Sélectionner aléatoirement des lots.
• Par exemple, les lots B, C, F et H. • Compter tous les organismes d’intérêt dans les lots sélectionnés. • B = 9, C = 6, F = 7, H = 5. • 9 + 6 + 7 + 5 = 27, sur 4/9 de la surface.
• Extrapoler le nombre d’individus comptés dans les lots à la
surface totale (ou volume total) du territoire pour obtenir la
taille de la population. • 27 x 9/4 = 60,75 individus / 9 km
2. • Simplifier la fraction obtenue pour avoir une densité
exprimée efficacement. • 60,75 / 9 = 6,75 individus / km 2.
• La vraie, ici ? 62 individus / 9 km2 , donc 6,89 individus / km2.
• L’échantillonnage avec capture-recapture suppose que tous les individus ont la même probabilité
d’être capturé et que le nombre d’individus capturés est un indicateur de la population totale.
• Bien pour les organismes observables, difficiles à compter, mais capturables, comme les oiseaux,
écureuils, poissons...
• Méthode d’échantillonnage avec capture-recapture :
• Diviser le territoire en lots.
• Sélectionner aléatoirement des lots.
• Capturer des organismes recherchés grâce à des pièges dans les lots (ou autres méthodes de capture).
• Compter, marquer et libérer les organismes capturés.
• Attendre quelques jours / semaines pour que les organismes capturés se mélangent avec les organismes qui
n’ont pas été capturés et oublient l’évènement de capture.
• Procéder à un 2e épisode de capture (la recapture).
• Calculer la population totale dans les lots sélectionnés, avec une règle de 3, sachant que
(REGARDE LA DIAPO 6)
• L’échantillonnage avec indicateur indirect consiste en un décompte de nids,
pistes, terriers, excréments et / ou autres indicateurs de la présence des
organismes d’intérêt. Plutôt utilisé pour les organismes difficiles à observer,
notamment les grands félins, certains oiseaux, etc.
• Méthode :
• Diviser le territoire en lots.
• Sélectionner aléatoirement des lots.
• Faire le décompte des indicateurs dans chaque lot.
• Par exemple, 30 nids / 3 km2
.
• Établir la relation entre le nombre d’indicateurs et le nombre d’organismes
correspondant.
• Par exemple, le nombre probable de petits par nid est ~3, avec 2 parents :
(30 nids x 3 petits) + (30 nids x 2 parents) = 90 petits + 60 parents = 150 oiseaux / 3 km2
.
• Extrapoler à l’ensemble du territoire et exprimer correctement la densité de population
par unité de surface ou volume.
• Par exemple, 150 oiseaux / 3 km2 = 450 oiseaux / 9 km2
(l’ensemble du territoire) = 50 oiseaux / km
• Dispersion en agrégat : le mode le plus courant
• Dispersion uniforme.
• Dispersion aléatoire
ispersion en agrégat : le mode le plus courant.
• ... parce que certains endroits offrent un avantage physico-chimique, comme des microorganismes qui se
concentrent sur la matière en décomposition, ou des plantes dans un sol à proximité de l’eau.
• ... parce que l’agrégation offre un avantage social, comme un banc de poissons a plus de chance de
repérer une menace comme un espadon, une meute de loups a plus de chance d’attraper du gros gibier
qu’un individu seul, ou la rencontre d’un partenaire sexuel est plus facile dans un groupe qu’en solo.
• ... souvent à cause de la compétition entre les individus, comme certaines plantes qui sécrètent des
substances pour inhiber la croissance des autres plantes avec lesquelles elles sont en compétition pour le
soleil et autres ressources.
• ... chez les animaux, souvent à cause de la territorialité, un type d’interaction sociale agressive visant à
sécuriser un territoire et ses ressources pour un individu.
• ... lorsqu’il n’y a ni attirance, ni répulsion entre les individus.
• ... lorsqu’il n’y a pas de compétition pour les ressources, à cause de leur abondance et/ou distribution
homogène.
Vrai,
• Dépendants de la densité de la population : taux de reproduction, compétition …
• Indépendants de la densité de la population : température de l’environnement,
photopériode, catastrophes naturelles …
• La démographie est l’étude de la taille des populations et des variations de la taille de ces populations au fil du temps.
facteur démographique qui correspond à la capacité à
survivre et à la tendance à mourir d’un groupe d’individus en fonction de leur âge.
graphique indiquant la proportion ou le nombre de
survivants d’une population en fonction de l’âge des individus qui la
composent.
La pente d’une courbe de survie représente le taux de mortalité de la population. Une pente plus prononcée représente une mortalité plus importante.
les ressources sont abondantes
fonction exponentielle vers le haut
La capacité limite du milieu (ou capacité de support,
notée K) est le nombre maximal d’individus d’une
population capables de vivre dans un milieu au cours
d’une période donnée, sans dégradation de l’habitat.
Lorsque la taille de la population s’approche de sa
capacité limite, le taux de croissance (la pente)
diminue : c’est le modèle logistique de croissance
Le taux de croissance diminue parce que le taux de mortalité
augmente, ou parce que le taux de natalité diminue, ou les
deux.
• Maladies, prédation, territorialité, ressources limitées (nourriture,
oxygène, etc.), accumulation de déchets (déchets azotés,
acides/bases, alcool, etc.) ...
est donc une mesure de la pression exercée sur la nature par
un individu / par une population / par une entreprise / par un pays.
Une empreinte écologique plus faible est donc préférable ; l’utilisation de plus que 1,6 hag par
personne en moyenne entraine une dégradation de la planète.
• Hectare global (hag) : superficie d’un hectare (un hectare = 10,000 m2
, soit un carré de 100 m par
100 m) avec une capacité de production de ressources et d’absorption des déchets correspondant
à la moyenne mondiale.
vrai
• Terre agricoles cultivées.
• Pâturages (pour les animaux d’élevage).
• Surfaces de pêche.
• Forêts pour l’exploitation du bois.
• Forêt pour l’absorption du carbone et production d’oxygène.
• Terrains construits (résidentiel, industriel, dépotoirs)
Il y a environ 12,2 milliards d’hectares globaux disponibles sur Terre, soit environ 1,6 hag par
humain.
: superficie des terres et eaux réellement
disponibles pour fournir les ressources et assimiler les déchets
de la population, exprimée en hectares globaux par personne,
par pays
Dans le monde, en 1970, le jour du dépassement était le 31 décembre. En
2023, il était le 2 août.
Le jour du dépassement correspond à la date annuelle à partir de
laquelle la population a consommé l’équivalent de l’ensemble
des ressources que la planète est capable de régénérer en un an
la disponibilité de l’espace (surface habitable, surface de production).
• ... la disponibilité de la nourriture (consommation de viande vs végétarisme et
déclinaisons, autres ressources).
• ... la disponibilité de l’eau douce (eau de consommation, hygiène, eau industrielle).
• ... la disponibilité de l’énergie (notamment fournie par les combustibles fossiles, qui ne
sont pas renouvelables et polluent à l’extraction et à l’utilisation).
• ... la capacité d’assimilation des déchets