→ Une somme d'argent qu'une personne peut utiliser pour consommer ou épargner.
Ensemble des personnes vivant sous le même toit.
Non. Il existe les revenus du travail, de la propriété, mixtes et de transfert
Non. Les salaires sont des revenus du travail, mais il existe d'autres types de revenus.
Non, une partie est prélevée sous forme d'impôts et cotisations sociales
Le revenu disponible brut (RDB).
À financer les prestations sociales comme les allocations familiales et les pensions de retraite.
À financer les dépenses publiques (salaires des fonctionnaires, matériel pour les services publics, etc.).
Non. Les cotisations sont versées aux organismes de protection sociale, les prestations sont ce que ces organismes versent aux ménages.
Les salariés et les organisations productives (entreprises).
Non. Elle regroupe ceux qui ont un emploi et ceux qui recherchent un emploi (PSERE)
Oui, mais seulement si le travail est rémunéré. Étudiants et femmes au foyer, par exemple, ne sont pas comptés.
Ceux qui ne travaillent pas et ne recherchent pas d'emploi (jeunes, retraités, étudiants, femmes/hommes au foyer).
Personnes Sans Emploi à la Recherche d'un Emploi (inscrites à Pôle Emploi).
Oui, plus le diplôme est élevé, plus la probabilité de chômage est faible.
Oui et non. Un haut niveau de diplôme reste utile, mais il donne moins accès à des professions valorisées qu’avant.
L'emploi offre un revenu, augmente la sociabilité, donne une fonction sociale et un sentiment d'utilité.
En période de crise, les entreprises réduisent leurs emplois, augmentant le chômage
Il détruit certains emplois, en crée de nouveaux et réduit le besoin de main-d'œuvre pour produire.
Oui, les femmes salariées gagnent généralement moins que les hommes
Oui, si à situation identique, les femmes sont moins payées que les hommes
Femmes plus souvent à temps partiel, choix de professions moins rémunérées, et discriminations.
Oui, mais pas toujours, et la durée maximale de perception est de 2 ans.
Processus par lequel les individus apprennent les normes et valeurs de leur société.
Parents, école, pairs, médias
La socialisation influence les individus, mais ils gardent une marge de liberté pour faire leurs propres choix.
Non. Une bonne socialisation ne garantit pas toujours une bonne intégration dans un groupe.
Non. Le sexe est biologique (XX/XY), le genre est un ensemble de caractéristiques sociales associées au sexe.
Non. Il y a une socialisation différenciée selon le sexe, les attentes étant différentes pour les filles et les garçons.
Par des sanctions positives (récompenses) et négatives (punitions).
Les biens sont des objets, les services sont immatériels. Ils sont produits par des ménages, entreprises, administrations publiques, ou associations.
Le financement : les entreprises se financent par la vente, les administrations par les prélèvements obligatoires, et les associations par les dons et subventions.
Elle utilise quatre facteurs de production : capital privé, capital public, travail, et autres ressources matérielles.
Ce sont des dépenses qui ne varient pas avec la quantité produite (ex. : loyer, abonnement internet).
Ce sont des dépenses qui augmentent avec la quantité produite (ex. : coût du gaz pour cuire les aliments).
C'est la somme des coûts fixes et des coûts variables. CT = CF + CV.
CM = CT / q (où q est la quantité produite).
Lorsque le prix de vente (P) est supérieur au coût moyen (CM). P > CM.
C'est la réduction du coût moyen avec l'augmentation de la quantité produite. Plus on produit, moins le coût moyen est élevé.
Par le nombre de salariés et le chiffre d'affaires. Ex : Renault a plus de salariés, mais Exxon a un chiffre d'affaires plus élevé.
Non. La production est la quantité totale produite. La productivité est la quantité produite par unité de travail. Ex : Deux entreprises produisent le même nombre de vélos, mais celle avec moins de salariés est plus productive.
La production utilise de l'énergie, souvent fossile, émettrice de CO₂, contribuant ainsi au changement climatique.
Les besoins de financement sont le besoin de fonds pour couvrir les dépenses. Les capacités de financement désignent les fonds disponibles excédant les dépenses.
Les ménages ont souvent des capacités de financement. Les entreprises et l'État ont généralement des besoins de financement.
En empruntant auprès d'une banque commerciale.
Par emprunt bancaire pour les petites entreprises ou en émettant des actions ou des obligations pour les grandes entreprises.
En émettant des obligations sur les marchés financiers. Ces obligations sont des titres de créance que les investisseurs achètent pour prêter de l'argent aux États.
Le marché primaire est le marché où les entreprises ou les administrations publiques émettent pour la première fois des actions ou des obligations. Le marché secondaire est celui où ces titres sont revendus entre investisseurs après leur émission initiale.
Les banques, les compagnies d'assurance, les investisseurs institutionnels (comme les fonds de pension), et les fonds souverains.
C'est l'ensemble des emprunts contractés par l'État, la Sécurité sociale, les organismes divers d'administration centrale (ODAC), et les collectivités territoriales. Elle est souvent exprimée en pourcentage du PIB.
C'est l'écart entre les dépenses des administrations publiques et leurs recettes. Il est généralement exprimé en pourcentage du PIB.
Les principales recettes sont la TVA (environ 50% des recettes) et l'impôt sur le revenu (environ 25%). Les principales dépenses sont les dépenses d'éducation et de recherche (environ 30%) et les dépenses de défense et de sécurité (environ 20%).
Oui, car cela signifie que les prélèvements obligatoires servent en partie à payer les intérêts de la dette plutôt que de financer des services publics. Cependant, la dette permet de gérer les crises économiques et a été utilisée pour soutenir l'économie. En France, les gouvernements ont souvent voté des budgets déficitaires.
Un modèle est une représentation simplifiée de la réalité qui permet de faire des prévisions ou de comprendre des phénomènes complexes.
Ce modèle permet d'anticiper l'évolution des prix et des quantités échangées sur les marchés. Il représente comment la demande et l'offre interagissent pour déterminer les prix et les quantités échangées.
La demande est la quantité d'un bien ou d'un service que les consommateurs souhaitent acheter à un certain prix. L'offre est la quantité de ce bien ou service que les producteurs sont prêts à vendre à un certain prix.
Le prix d'équilibre est le prix pour lequel la quantité offerte est égale à la quantité demandée. C'est le point où les courbes de demande et d'offre se croisent sur un graphique
Une baisse du prix d'un produit entraîne généralement une hausse de la quantité demandée. À l'inverse, une hausse du prix diminue la quantité demandée.
Une baisse de la demande entraîne une diminution du prix d'équilibre et des quantités échangées. La courbe de demande se déplace vers la gauche. Inversement, une hausse de la demande augmente le prix et les quantités échangées, avec un déplacement de la courbe de demande vers la droite.
Non, elles abordent deux aspects différents. La question 48 examine l'effet d'une évolution des prix sur la quantité demandée. La question 49 se penche sur l'effet d'un déplacement de la courbe de demande sur les prix et les quantités échangées.
augmentation de la quantité offerte, car les producteurs sont incités à produire davantage pour profiter de prix plus élevés.
baisse le prix d'équilibre et augmente la quantité échangée. À l'inverse, une baisse de l'offre augmente le prix et diminue la quantité échangée.
Non, elles préfèrent souvent éviter la concurrence car elle peut réduire leurs parts de marché, leur chiffre d'affaires et leurs profits.
Elles peuvent créer des barrières à l'entrée comme des brevets, des prix prédateurs, la différenciation des produits ou profiter des économies d'échelle.
situation où une seule entreprise contrôle entièrement le marché d'un bien ou service, ce qui limite la concurrence.
marché dominé par quelques entreprises. Cela peut conduire à des ententes entre elles, réduisant la concurrence, augmentant les prix et diminuant le choix pour les consommateurs.
un bien non rival et non exclusif, comme un feu d'artifice, où l'utilisation par une personne n'empêche pas d'autres de l'utiliser.
Oui, les connaissances sont non rivales et non exclusives, ce qui signifie qu'elles peuvent être utilisées par tous sans diminuer leur disponibilité.