Utilisateur
faux, l’énergie solaire est disponible
en grande quantité, mais la matière est limitée ; la vie
repose donc sur le recyclage des éléments chimiques.
Lorsqu’on considère le parcours de la matière dans un
écosystème, incluant son passage entre le vivant et le
non
-vivant, on constate que des facteurs biotiques et
abiotiques interviennent ; l’ensem
d’échelle planétaire ; d’autres
sont plutôt d’échelle locale
• Les éléments dégagés sous forme gazeuse (comme le carbone et l’oxygène sous forme de CO2
issu de la respiration cellulaire) sont libérés dans l’atmosphère et ont un cycle planétaire ;
• Les éléments dégagés sous forme solide (comme le calcium, le phosphore ou le potassium, qui ne forment pas de composante gazeuse) restent généralement plus près de leur source locale, bien que certains puissent être emportés au loin sous forme de poussières, ou être emportés au loin par les courants dans les écosystèmes aquatiques.
représente la contribution
relative de chaque réaction.
inorganique
• Dans les océans à environ 97%. • Dans les glaciers et les calottes polaires à environ 2%. • Dans les lacs, cours d’eau et nappes d’eau souterraines à
environ 1%.
• La quantité d’eau des autres réservoirs (atmosphérique,
organismes vivants) est négligeable.
• L’évaporation ;
• La condensation ;
• Les précipitations ;
• L’évapotranspiration ;
• Le ruissellement.
l'eau---
2. carbone
Vrai
Le carbone disponible se retrouve principalement
dans les roches sédimentaires, l’atmosphère
(CO2 ), la biomasse, les sédiments des
écosystèmes aquatiques, les océans (sous forme
dissoute) et dans les combustibles fossiles
• La photosynthèse ;
• La respiration cellulaire ;
• La décomposition ;
• La combustion
Les 4 principaux éléments du vivant
sont : carbone, azote, hydrogène et
oxygène.
; il
est essentiel pour la synthèse de
l’ADN et des protéines.
L’azote se retrouve principalement
dans l’atmosphère, mais aussi dans
les sols, sédiments des plans d’eau
et dans la biomasse.
est un élément chimique
essentiel au vivant, notamment pour la
production d’énergie dans les cellules.
Le principal réservoir de phosphore est le
sol, mais on en retrouve aussi dans les
sédiments marins (sous forme solide), dans
l’eau (sous forme dissoute) et dans la
biomasse (comme constituant de certaines
molécules organiques).
• La désagrégation des roches ;
• L’absorption ;
• La décomposition ;
• Le lessivage ; •
La sédimentation.
bon fonctionnement de ces
processus cycliques. ( phopore, eau, carbone )
Déforestation, agriculture, remblayage, détournement de cours
d’eau, urbanisation, introduction d’espèces non indigènes, etc.
• Niveau 1 : diversité génétique.
• Niveau 2 : diversité spécifique
(des espèces).
• Niveau 3 : diversité écosystémique.
réfère à la variété des gènes à
l’intérieur des populations, ainsi qu’entre les populations
grace aux alleles et diffents individus, Différentes versions de chaque gène existent dans une
population. Ceci crée un ensemble de traits génétiques
parmi lesquels la sélection naturelle peut opérer.
faux, • Une population d’individus clonaux ne peut pas évoluer. Ceci est
problématique, parce que les conditions environnementales
vont finir par changer et la population ne pourra pas s’adapter.
Vrai
réfère à la diversité des espèces dans un
environnement.
Un environnement avec une plus grande variété d’espèces est plus productif.
• Il y aura le maximum de production de biomasse.
• Un environnement avec une plus grande variété d’espèces est plus apte à
s’adapter aux changements, comme l’arrivée d’un parasite, ou la
modification du climat.
Lorsqu’une espèce disparait d’un environnement, ça n’affecte pas
seulement cette espèce ; c’est toute la chaine alimentaire qui est
perturbée.
Espèces menacées : dont la disparition est appréhendée. Ce terme
générique inclut les espèces vulnérables et en voie de disparition.
• Espèces vulnérables : dont la survie est jugée précaire, mais dont on ne
prévoit pas la disparition à court ou moyen terme si des mesures de
conservation sont appliquées.
• Espèces en voie de disparition : en déclin sévère, qui risquent de disparaitre
de leur aire de répartition à très court terme.