Deux (2) grands organismes gouvernementaux de mesure :
National : Statistique Canada : l’Enquête sur la santé dans les collectivités
canadiennes (ESCC)
Québécois : Institut de la statistique du Québec et l’Institut national de
santé publique du Québec
Combinaison de 4 critères :
1. Fréquence (nb de fois par semaine)
2. Durée
3. Intensité de pratique
4. Type d’activité (de loisir et de transport)
=> Quatre (4) catégories :
1. Actif *
2. Moyennement actif
3. Un peu actif
4. Sédentaire
* Correspond au seuil recommandé pour chacun des critères
pour retirer des bénéfices au plan de la santé.
1. Fréquence (nb de fois par semaine)
2. Durée moyenne de chaque AP
3. Intensité (dépense calorique estimée de chaque AP pratiquée par 4 saisons
(valeur annuelle) ÷ par 365 jrs)
moyenne d’énergie quotidienne consacrée à l’AP de loisir
=> Trois (3) catégories :
1. Actif : ≥ 3 kcal/kg/jr
2. Modéré : 1,5 à 2,9 kcal/kg/jr
3. Inactif : < 1,5 kcal/kg/jr
* Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes
1) Une fréquence d’AP de moins de 1 fois
par semaine
1) Un comportement sédentaire: toute
situation d’éveil caractérisée par une
dépense énergétique ≤ 1,5 équivalents
métaboliques (METs) en position assise,
inclinée ou allongée.
Entre 2007 et 2014 :
Au Québec, les femmes ont davantage augmenté leur pratique d’APS,
et ont égalé le niveau des hommes.
Les 12-17 ans (sexes confondus) ont diminué leur pratique d’APS alors
que tous les autres groupes d’âge ont augmenté leur pratique (c’est
aussi le groupe le plus affecté par la pandémie en matière de pratique
d’APS)
Les écarts en fonction de la scolarité se sont accentués (14 % à 21 %).
Les écarts en fonction du revenu ont diminué un peu (14.6 % à 13 %).
des conditions de vie différentes
des valeurs, des normes, des cultures différentes
Les goûts/préférences en matière d’APS varient selon les
groupes sociaux (sexe, âge, SES, etc.)
On NE peut PAS l’expliquer par des facteurs génétiques…
Les facteurs physiologiques peuvent jouer, en partie, pour
l’âge (par ex. activité de faible intensité vs activités de
grande intensité),
mais la physiologie ne peut expliquer les différences
observées entre les + ou – scolarisés ou les + ou –
économiquement favorisés…
Il est difficile de l’expliquer par des traits psychologiques
(individuels) car les différences s’appliquent à des
GROUPES…