Utilisateur
par hydrolyse pour en recycler les acides aminés.
• L’ADN est la molécule qui contient l’information codée pour fabriquer les protéines d’un organisme vivant. Un plan de fabrication d’une protéine dans une molécule d’ADN est un gène.
Un humain a environ 20 000 gènes, répartis sur 23 chromosomes
Transcription : L'ARN polymérase se lie à une séquence spécifique de l'ADN appelée promoteur et débute la synthèse de l'ARNm en utilisant une des brins d'ADN comme matrice. Pendant la transcription, l'ARN polymérase assemble des nucléotides complémentaires à la séquence d'ADN, formant une molécule d'ARNm.
Maturation de l'ARNm : L'ARNm nouvellement synthétisé subit des modifications post-transcriptionnelles, telles que l'ajout d'une coiffe à l'extrémité 5' et l'ajout d'une queue poly-A à l'extrémité 3'. Ces modifications sont importantes pour la stabilité et la reconnaissance de l'ARNm par les ribosomes pendant la traduction.
Traduction : L'ARNm mature quitte le noyau et se lie aux ribosomes dans le cytoplasme. Les ribosomes «lisent» la séquence d'ARNm en codons de trois nucléotides et recrutent les acides aminés correspondants pour former une protéine, selon le code génétique universel.
Modifications post-traductionnelles.
• Modifications enzymatiques du polypeptide complètement synthétisé, soit au cytosol, soit au réticulum
endoplasmique rugueux et dans le complexe golgien.
(voir diapo 2 pour details
Vrai. un même gène peut être transcrit en un pré-ARNm (ARNm précurseur) qui subit ensuite un processus appelé épissage alternatif. L'épissage alternatif permet de sélectionner différentes combinaisons d'exons et d'introns à partir du pré-ARNm, ce qui conduit à la production de différents ARNm matures pouvant coder pour des protéines distinctes. Ainsi, un même gène peut effectivement servir à fabriquer plusieurs protéines différentes grâce à l'épissage alternatif.
Un gène est constitué d’une portion centrale codante, flanquée par des séquences régulatrices de chaque côté.
• La séquence régulatrice en 5’ (« avant » la séquence codante) et la séquence régulatrice en 3’ (« après » la séquence codante) contiennent
des sites de liaison pour des protéines régulatrices qui contrôlent (à la hausse ou à la baisse) l’expression du gène.
de 5 a 3
• La séquence régulatrice en 5’ contient le promoteur, qui est le site où s’amorce la transcription de l’ADN en ARN. C’est le site où se lie l’ARN polymérase.
La portion centrale est la séquence codante, soit
le plan de fabrication de la protéine ; elle détermine donc la séquence des acides aminés de la protéine.
• d’une séquence de tête (5’-UTR) ;
• 5’-UTR : 5’ untranslated region.
• d’un génon de départ ;
• Un génon est un triplet de nucléotides d’ADN qui
correspond à un codon de l’ARNm.
• Un codon est un triplet de nucléotides d’ARNm qui
code pour un acide aminé.
• Le codon de départ marque la position du premier
acide aminé d’une protéine.
• d’une alternance d’exons et d’introns ;
• Les exons sont les parties qui seront exprimées.
• Les introns sont les parties interposées (non-codantes).
• d’un génon d’arrrêt ;
• Qui correspond à un codon STOP.
• d’une séquence terminatrice (3’-UTR).
• 3’-UTR : 3’ untranslated region.
• Inclut la séquence de polyadénylation, qui permet une
des modifications post-transcriptionnelles.
un gène est donc constitué d’un brin codant et d’un brin matrice puisque l'adn est double helice
- Le brin codant est le brin qui contient l’information pour fabriquer la protéine, orienté 5’ → 3’.
-• Le brin matrice est le complémentaire du brin codant. L’ARN polymérase fabrique l’ARN pré-messager en complémentarité avec le brin matrice, de façon à générer un ARN pré -messager qui porte la même séquence de nucléotides que le brin d’ADN codant.
Attention : • Sauf que les T de l’ADN sont remplacés par des U sur l’ARN pré -messager
• La transcription (ADN → ARN) est initiée dans le noyau par la
liaison de l’ARN polymérase sur le promoteur.
L’ARN polymérase est un COMPLEXE ENZYMATIQUE qui ....
- Ouvre la double hélice d’ADN. Il n’est pas nécessaire d’exposer le brin matrice du gène en entier ; seulement une petite section à la fois.
- Fabrique un ARN pré -messager par polymérisation de nucléotides d’ARN, par complémentarité avec les bases azotées du brin matrice d’ADN. Attention, il n’y a pas de thymine (T) dans un ARN, mais plutôt des uraciles (U) ; l’ARN polymérase place donc un nucléotide U à chaque place où il y aurait un nucléotide T.
génèrer un ARN pré-messager avec la même information que le brin codant
Les nucléotides qui forment un ARN sont différents des nucléotides qui forment un ADN par leur pentose :
-Les nucléotides de l’ADN ont un désoxyribose, ce sont des
désoxynucléotides ;
-Les nucléotides de l’ARN ont un ribose, ce sont des
ribonucléotides
Faux , c'est antiparallele
l’ARN polymérase se déplace sur le brin matrice du 3’ → 5’
pour pouvoir polymériser les nucléotides du 5’ → 3’.
Il doit subir quelques modifications post-transcriptionnelles : il y a ajout d’une coiffe en 5’ et d’une queue poly-A en 3’.
La coiffe en 5’ est une modification de l’extrémité 5’ de l’ARN pré-messager.
• Dans le noyau, la coiffe en 5’ protège l’ARN contre la dégradation.
• Dans le cytosol, la coiffe en 5’ permet, avec la queue poly-A, de recruter le ribosome pour amorcer la traduction.
La queue poly-A est un ajout d’entre 50 et 250 nucléotides de type adénosine (A) à l’extrémité 3’ de l’ARN.
• Dans le noyau, la queue poly-A protège l’ARN contre la dégradation. Elle sert également de signal pour la sortie du noyau vers le cytosol (reconnaissance par les pores
nucléaires).
• Dans le cytosol, la queue poly-A permet, avec la coiffe en 5’, de recruter le ribosome pour amorcer la traduction.
• Chez les eucaryotes, la queue poly-A protège l’ARN contre la dégradation hative dans le cytosol, ce qui permet de l’utiliser plusieurs fois
L’épissage est le processus qui entraine l’élimination des introns et la fusion des exons pour faire un ARN messager mature
episseé
pcq • Il n’y a pas d’introns chez les procaryotes comme les bactéries ; l’épissage est un phénomène strictement eucaryote.
Les introns sont toujours eliminées dasn les 2 et les exons sont conservées dans le regulier, toutefois pour le alternatf, . Il arrive qu’un exon soit éliminé en même temps que les introns qui le bordent, ce qui modifie la séquence de l’ARN et donnera une protéine différente.
Faux, ca c'est l,avant derniere.
il faut quelle se fasse episer
Un complexe formé d’une petite sous-unité
ribosomique et d’un ARNt qui porte une méthionine
se lie à l’extrémité 5’ de l’ARNm et balaie (scan) l’ARNm
en direction du 3’ jusqu’à trouver le premier codon
d’initiation (AUG).
est un ARN de transfert, un ARN fonctionnel replié comme
une protéine, qui porte un acide aminé à son 3’ et un anti-codon complémentaire à 3 nucléotides de l’ARNm dans sa partie basse.
• Un codon est une série de 3 nucléotides contigus dans un ARNm qui spécifie la position d’un des acides aminés standards de la protéine. Le premier codon d’un ARNm n’est pas nécessairement placé à un multiple de 3 nucléotides du début de l’ARNm, mais tous les codons sont nécessairement en phase avec le codon d’initiation.
Lorsque ce complexe reconnait le premier codon
d’initiation, la grande sous-unité ribosomique peut
s’attacher et la traduction est amorcée
Ribosome
• Le ribosome fait la lecture de l’ARNm (5’ → 3’) à partir du codon d’initiation, à coup de 3 nucléotides (codons), jusqu’à arriver à un codon stop, où les deux sous-unités du ribosome se détachent et la traduction est terminée.
• La petite sous-unité est responsable de la reconnaissance des codons.
• La grande sous-unité catalyse la formation de la liaison peptidique entre les acides aminés et possède un tunnel pour laisser sortir le polypeptide en formation.
Aug
Lorsqu’un ribosome arrive à un codon d’arrêt,
c’est plutôt un facteur de terminaison protéique qui entre dans le ribosome pour causer l’arrêt de la traduction.
lorsque il arrive a soit 3 codons de STOP (UAG UAA ou UGA)
• Un facteur de terminaison (qui est une petite protéine) se lie alors à l’ARNm dans le ribosome et libère le polypeptide de l’ARNt qui est encore dans le site P du ribosome
e protège contre la dégradation hâtive et permet de
recommencer la traduction pour obtenir plusieurs copies du polypeptide.
détermine les premiers repliements (hélices alphas et feuillets bêtas), puis cette structure secondaire permet l’établissement de la structure tertiaire (interactions entre radicaux d’acides aminés éloignés dans la structure primaire).
• Ajout d’un groupement chimique fonctionnel (comme un méthyle ou un phosphate).
• Ajout d’un glucide pour former une glycoprotéine.
• Ajout d’un acide gras pour former une lipoprotéine.
• Hydrolyse multiple pour générer plusieurs peptides.
• Union de plusieurs polypeptides pour former une protéine avec structure quaternaire
Vrai,
• Pour une protéine cytosolique, les modifications post-traductionnelles ont lieu dans le cytosol.
• Pour une protéine sécrétée, membranaire, ou lysosomale, les modifications posttraductionnelles ont lieu au réticulum endoplasmique rugueux et au complexe golgien.
ok