Utilisateur
Reconnaitre et détruire :
- Des Cellules
a) Cellules étrangères
Agents pathogènes
Bactéries, mycètes, algues, protozoaires, vers, etc.
Tissus greffées( qqun qu resoit un rein de qqun dautre par exemple le syst le detruit)
b) Cellules anormales (Cancereuses)
c) Cellules infectées (principalement par virus)
- Des molecules
Toxines, venins
des portions de leurs macromolécules sont considérées comme étrangères (non-soi) puisqu’elles ne font pas partie des molécules fabriquées dans votre corps (soi).
Ag portés a la surface des cellules non-soi ou des virus (ex. protéines membranaires)
Ag _ moleculaires non-soi introduits dans votre corps (toxines, venins)
Les glycoprotéines sont des molécules formées par la combinaison de deux éléments :
Une partie protéique : une chaîne d'acides aminés qui constitue la structure principale de la molécule.
Une partie glucidique (sucre) : des chaînes de glucides (ou sucres) qui sont attachées à la protéine.
Entrée du virus dans la cellule hôte :
Le virus est entouré d'une enveloppe virale avec des glycoprotéines (spicules) à sa surface.
Ces spicules s’attachent à des récepteurs spécifiques situés sur la membrane de la cellule hôte. Cette interaction permet au virus de pénétrer dans la cellule.
Libération du génome viral :
Une fois à l’intérieur, la capside du virus est dégradée par les enzymes cellulaires de l'hôte.
Cela libère le génome viral (dans ce cas, de l’ARN) dans le cytoplasme de la cellule.
`
Utilisation des ressources de la cellule :
Le génome viral (ARN) est utilisé comme matrice pour produire des protéines virales essentielles.
Les brins d’ARN complémentaires sont traduits par les ribosomes de la cellule en protéines, comme :
Les protéines de la capside (structure qui enveloppera le génome viral dans les nouveaux virus).
Les glycoprotéines (destinées à former l’enveloppe des nouveaux virus).
Fabrication des composants du virus :
La cellule hôte commence à produire des copies du génome viral. Ces copies d’ARN et les protéines virales (capside, glycoprotéines, etc.) sont transportées et assemblées.
Les glycoprotéines sont envoyées à la membrane plasmique via des vésicules provenant du réticulum endoplasmique et de l’appareil de Golgi.
Assemblage des nouveaux virus :
Les copies de l’ARN viral sont encapsulées dans une nouvelle capside. Les glycoprotéines sont insérées dans la membrane plasmique de la cellule hôte.
Sortie des nouveaux virus (bourgeonnement) :
Les nouveaux virus sortent de la cellule par bourgeonnement.
En sortant, ils emportent avec eux une partie de la membrane plasmique de la cellule hôte, qui devient leur nouvelle enveloppe virale contenant les glycoprotéines.
les vesicules transportent les glycoproteines vers la membrane plasmique de la cellule
Capacité de l’organisme à résister aux
nombreux agents qui causent des maladies
existe avant l’exposition aux pathogènes, effective dès la naissance, mais elle est non spécifique (même mécanisme peu importe l’agresseur) et sans mémoire (ne devient pas plus efficace lors d’une prochaine rencontre avec le même pathogène).
existe suite l’exposition aux pathogènes (après un delai), cependant est tres specifique (défense « sur mesure » contre un agresseur) et avec mémoire ( durable , plus efficace lors dune prochaine rencontre avec le meme pathogene
minnunité inné est pre tous les animaux mais adaptative est seulement pour les vertebrées
les immunite inee est bcp plus rapide que ;adap^tative quiest bcp plus lente
immunité innée : TT LES ANIMAUX
Defenses externes: (Barrieres )---peau , muqueuse , secretions , microbiotes( PREMIERE LIGNE )
defenses internes : phagocytes, cellules tueuse naturelles , proteinnes , reaction imflamatoire ( 2ME LIGNE )
Immunité adaptative: POUR LES VCERTEBRES SEULEMENT
reponse humorale : anticorps qui combattent linfection des liquides corporels ( 3 eme igne si vertebre)
reponse cellulaire: cellules cytoxiques qui combattent linffection dans les celulles de lorganisme ( 3 eme igne si vertebre)
empecher lintroduction des antigenes dans le corps
destruction non spécifique des Ag qui se sont introduits
Les phagocytes sont des cellules du système immunitaire qui ont la capacité de "manger" ou d’engloutir des particules étrangères, comme des bactéries, des virus ou des débris cellulaires. Ce processus s'appelle phagocytose.
Neutrophiles: GB migrants, 1er arrivés sur site infectieux, les plus nombreux, vie brève, libèrent des cytokines.
macrophages : (issus des monocytes migrants du sang vers les tissus): GB, CPA, résidants des organes lymphatiques et des tissus conjonctifs, les plus efficaces et durables, libèrent des cytokines.
cellules denritiques: formées dans moelle osseuse, GB, CPA, se trouvent aux épithéliums de la peau et des muqueuses digestive, respiratoire et urogénitale, migrent vers les nœuds lymphatiques après avoir phagocyté, libèrent des cytokines.
1. Encerclement des microorganismes par des pseudopodes :
Les phagocytes (comme les macrophages) détectent un agent pathogène grâce à des récepteurs spécifiques sur leur surface.
Une fois identifié, le phagocyte émet des prolongements de sa membrane appelés pseudopodes qui entourent l’agent pathogène.
2. Absorption des agents pathogènes dans la cellule par endocytose :
Les pseudopodes se rejoignent autour de l’agent pathogène et l’engloutissent.
Ce processus forme une vésicule interne dans laquelle le pathogène est enfermé. C’est une étape appelée endocytose.
3. Formation d’un phagosome :
La vésicule contenant l’agent pathogène devient un phagosome, un compartiment fermé au sein du phagocyte.
Le phagosome isole l’agent pathogène du reste de la cellule pour éviter qu’il cause des dommages.
4. Fusion du phagosome et du lysosome :
Le phagosome fusionne avec un organite appelé lysosome, qui contient des enzymes digestives et des composés toxiques (comme des radicaux libres).
Cette fusion forme un phagolysosome, où se déroulera la destruction de l’agent pathogène.
5. Destruction des agents pathogènes :
Les enzymes lysosomales dégradent l’agent pathogène en le détruisant complètement.
Les composés toxiques aident à éliminer les structures du microorganisme (paroi cellulaire, ADN, etc.).
6. Libération des débris des agents pathogènes par exocytose :
Les débris inutilisables de l’agent pathogène sont expulsés hors de la cellule par un processus appelé exocytose.
Ces débris peuvent être réutilisés par le système immunitaire pour déclencher une réponse adaptative.
vrai
elles présentent, aux cellules de l’immunité adaptative, des fragments d’Ag sur leur CMH ( complexe majeur shistocompabilite , est un ensemble de molécules présentes à la surface des cellules. Ces molécules jouent un rôle clé dans le système immunitaire, notamment dans la reconnaissance des cellules "soi" et "non-soi".)
Les organes lymphatiques sont des structures essentielles du système immunitaire, responsables de la production, la maturation et l'activation des cellules immunitaires, notamment les lymphocytes (un type de globule blanc). Ces organes jouent un rôle central dans la défense de l'organisme contre les infections.
Microbes, GB, protéines et cellules présentes dans le L.I. entrent dans la lymphe
Dans les organes lymphatiques, ils rencontrent des macrophages , des cellules dendritiques et autres GB
1. Thymus :
Rôle :
C'est un organe lymphatique primaire.
Il est responsable de la maturation des lymphocytes T (T pour "Thymus").
Les lymphocytes T deviennent fonctionnels et apprennent à reconnaître les cellules du "soi" et à ne pas attaquer les tissus sains.
Particularité :
Très actif pendant l'enfance et s'atrophie progressivement avec l'âge.
2. Amygdales (palatines et linguales) :
Rôle :
Ce sont des organes lymphatiques secondaires situés à l’entrée des voies respiratoires et digestives.
Elles capturent les agents pathogènes provenant de l'air et des aliments pour activer une réponse immunitaire.
Fonction spécifique :
Elles contiennent des amas de cellules immunitaires qui détectent les pathogènes et initient une réponse locale.
3. Vaisseaux lymphatiques :
Rôle :
Ils transportent la lymphe, un liquide clair qui contient des globules blancs, des déchets, et parfois des agents pathogènes.
Ils collectent le liquide interstitiel (entre les cellules) et le ramènent dans la circulation sanguine.
Particularité :
Agissent comme un système de drainage pour prévenir l'accumulation de liquide dans les tissus (œdème).
4. Rate :
Rôle :
C'est le plus grand organe lymphatique secondaire.
Elle filtre le sang pour détecter les agents pathogènes, élimine les globules rouges endommagés ou vieillissants, et stocke les globules blancs.
Fonction immunitaire :
Active les lymphocytes lorsqu'un antigène est détecté dans le sang.
5. Noeuds lymphatiques :
Rôle :
Ce sont des structures en forme de haricot situées le long des vaisseaux lymphatiques.
Ils filtrent la lymphe pour piéger les agents pathogènes, les débris cellulaires et les cellules anormales.
Fonction spécifique :
Ils contiennent des macrophages, des cellules dendritiques, et des lymphocytes qui détruisent les agents pathogènes et initient la réponse immunitaire.
6. Follicules lymphatiques agrégés (intestin grêle) :
Rôle :
Ces amas de tissu lymphoïde, comme les plaques de Peyer, se trouvent dans la paroi de l’intestin grêle.
Ils surveillent les antigènes dans le contenu intestinal et déclenchent une réponse immunitaire contre les pathogènes ingérés.
Fonction spécifique :
Protègent les muqueuses intestinales des infections.
Production de tous les elements figurées du sang (GB!)
Site de maturation des lymphocytes B
Site de maturation des lymphocytes T
Contient toutes les categories de cellules immunitaires.
grossisent quand il y a multiplication des lymphocytes B (suite à une stimulation par un Ag)
“Filtration” de la lymphe (élimination des corps étrangers par des macrophages pour eviter leur arrivée dans le sang)
Les lymphocytes B et lymphocytes T sont des cellules immunitaires essentielles, mais ils ont des rôles différents. Les lymphocytes B, qui mûrissent dans la moelle osseuse, produisent des anticorps pour neutraliser les pathogènes présents dans les liquides corporels (immunité humorale). Les lymphocytes T, qui mûrissent dans le thymus, agissent directement contre les cellules infectées ou cancéreuses (immunité cellulaire). Les T cytotoxiques (CD8) détruisent les cellules infectées, tandis que les T auxiliaires (CD4) activent d'autres cellules immunitaires. Les B ciblent principalement les pathogènes extracellulaires, alors que les T s'attaquent aux pathogènes intracellulaires. Ensemble, ils forment des cellules mémoires pour une réponse rapide en cas de réinfection.
Ligne de défense quasi-continue le long des systèmes digestif, respiratoire et génito-urinaire.
Interviennent localement dans lelimination des agresseurs
(ex. amygdales et adénoïdes détruisent agents pathogènes contenus dans l’air et la nourriture).